mercredi 21 janvier 2015

Critique Ciné - Film Noob 1 - Le conseil des 3 factions

Bonjour à tous! Après un compte-rendu un peu "neuneu" de la journée du 11 janvier, je voulais revenir sur une "critique" du film Noob de manière un peu plus prononcée.

Film intégral à voir ici :
(disponible également en format épisodes, dispo en playlist sur la chaîne Olydri)


Je ne vais pas le cacher: j'ai adoré ce film. On va poser ça là, comme ça, c'est dit!

Je vais essayer de découper tout ça pour faire une critique la plus complète possible.


lundi 12 janvier 2015

Pause détente - Avant première/Journée Noob, Dimanche 11 janvier 2015

Bonjour à tous! Attention, c'est long :D !

Difficile de sourire ces jours-ci, n'est-ce pas ? (Article séparé à venir à ce sujet) .

Pourtant, hier, mon fiancé et moi avons essayé. Fan de Noob (la websérie - si vous ne connaissez pas, allez jeter un coup d'oeil... ça les vaut!) , il suit depuis longtemps leur travail et m'a fait découvrir leur univers. M'étant bien marrée, j'ai été ravie d'apprendre le succès de leur crowdfunding et, surtout, la sortie d'une trilogie sous forme de film (qui constitue quand même une saison de la série en question) .

Et justement, ce dimanche 11 janvier 2015, nous avons pu assister à la 2ème (oui, ils en ont aussi fait une le samedi, mais ces coquins ont vendu les billets assez vite alors hop une aussi le dimanche... c'est gentil ça ^^ ) représentation de l'avant-première.

Alors ça peut paraître bizarre de dire "représentation" pour un film, me direz-vous. Ha! Ceux qui connaissent Noob se doutent qu'ils ne se seraient pas contenté d'une simple avant première avec "Bonjour merci d'être venus blah blah blah" . Eh non.

vendredi 19 décembre 2014

Suis-je voulue ?

Récemment j'ai discuté avec un ami, qui découvre régulièrement de nouveaux concepts et me les fait partager lorsque je me pose des questions existentielles et que je tombe au bon moment. 

La dernière en date permet d'identifier un certain type de profil, afin d'améliorer la communication avec son prochain. Intriguée par cette méthode, j'ai demandé plus de détails et, bien que n'étant pas encore expert dans le domaine, mon ami m'a posé quelques questions et a pu déterminer mon profil. Au final, le profil trouvé, bien que manquant de précision, ne m'a pas tant étonné. 

C'est la question existentielle qui m'a marqué.

"Suis-je voulue ?"

Ha. Quelle question.

Vous connaissez la meilleure ?

Quand l'ami m'a écrit la question, j'ai tout de suite pensé "Hmm, ceci explique cela" . Ça explique énormément de choix, énormément de ressentis, énormément de peines, et de moments de joies. 

Suis-je voulue, et surtout, comment le suis-je ? Comment lever le doute ? Quelle questions poser ? Quel est le bon choix ? Ce n'était qu'un début d'observation, mais c'est une belle piste à aborder vis à vis d'une meilleure compréhension de moi-même.

Heureusement, j'ai déjà un début de réponse: alors que j'ai longtemps eu peur de ne jamais intéresser personne, je sais que je suis voulue en tant que femme (et quelle sensation puissante ça peut être... ah...) . 

Pour le reste, c'est à voir. L'avenir me le dira, j'imagine... Mais je suis bien heureuse de pouvoir réfléchir d'une nouvelle manière.

mardi 18 novembre 2014

La jalousie est un vilain défaut!

Bonsoir bonsoir!

Il est un peu plus de deux heures du matin, je n'arrive pas à dormir, me voilà donc à laisser mes doigts traîner sur ce clavier pendant que je m'émerveille sur la capacité de mes chats à s'endormir n'importe où tout en réussissant à me faire croire qu'ils sont à l'aise (non, Daenerys, je doute que l'embout de l'aspirateur le soit vraiment) .

Forcément, je réfléchis, et j'en arrive à repenser à tous ces moments où, intérieurement, j'ai été "jalouse" d'inconnus ou de personnes de mon entourage plus ou moins proche. Que ce soit pour un voyage, un spectacle, un film vu, un objet acheté, une expérience (vive Facebook, ça facilite les jalousies quand même). 

Mais je me suis rendu compte également qu'au final, même si j'envie des choses à certaines personnes (bon, c'est humain, avouons le!) , j'arrive de mieux en mieux à contrôler cette jalousie. C'est sans doute l'âge qui fait ça (vive la trentaine!) mais aujourd'hui, plus j'avance et mieux j'apprécie simplement la diversité des expériences vécues dans mon entourage.

Je ne le cacherai pas: il y a certains détails dont je serai toujours envieuse jusqu'à ce que cela m'arrive. Mais ce ne sont pas des détails matériels donc je crée, chaque jour, mes propres expériences.

Finalement, réussir à vivre cette vie sans vocaliser sa jalousie m'a appris à mieux canaliser mon énergie. Pourquoi jalouser quelqu'un activement ? Pourquoi ne pas simplement chercher à améliorer moi-même mon environnement ? Pourquoi ne pas apprécier ce qui m'entoure ?

Sur ce, je vais donc aller essayer de m'endormir, il est maintenant 3h, ma soeur qui vit au Japon se réveille et elle a de la ch... ha, ça allait me reprendre.

Bon, si, je peux le dire pour le coup: elle en a de la chance de pouvoir vivre ça cette filoute :P ... Hâte de la revoir ;) .

vendredi 13 juin 2014

Pourquoi je ne soutiens pas cette grève SNCF

Bonjour!

Vive Twitter et les blogs! Grâce à eux, j'apprends que je suis une égoïste de ne pas soutenir la grève car je ne pense qu'à moi. J'expose mon cas détaillé perso en fin d'article, mais non, je ne pense pas qu'à moi.

Je pense :
- aux demandeurs d'emploi
- aux personnes en période d'essai
- aux intérimaires
- aux étudiants/lycéens/etc
- aux personnes en difficulté n'ayant pas de permis
- aux automobilistes et aux embouteillages
- aux usagers qui vont essayer de prendre les transports
- aux cheminots non grévistes qui vont s'en prendre plein la gueule

Et ainsi de suite. Je pense au fait que les grèves & co on en a souvent. Je pense que mon porte monnaie pleure de payer ce foutu Navigo pour rien (surtout ce mois-ci...) . Je pense que le service déjà fourni n'est pas à la hauteur des prétentions.

Je suis d'accord avec le fait qu'un employé soit dépendant des règles édictées par sa hiérarchie. Qu'il ne faut pas attendre gentiment sans jamais rien dire. Je suis assez lucide pour le comprendre.

L'opinion publique, elle, voit autre chose. Les trains et bus bondés, les embouteillages, les emmerdes. En parlant de ces emmerdes, normal d'être un peu égoïste pendant deux minutes en expliquant son cas. Etre logique et poli, soit, mais quand on subit, c'est saoûlant. 

Je lis ensuite ceci :
http://www.lefigaro.fr/societes/2014/06/11/20005-20140611ARTFIG00073-greve-en-cas-de-retard-au-travail-quels-sont-vos-droits.php

- Un salarié peut-il être sanctionné pour son retard dû à une grève des transports?
... En cas d'absence du salarié, celui-ci ne sera pas rémunéré car il lui appartient de choisir son lieu de travail et son lieu de domiciliation et ce, même si son absence au travail est involontaire.
Et là, je vois rouge. 
Avec un salaire comme le mien, je ne PEUX PAS payer un loyer de plus de 450 euros par mois. Je travaille à Paris. Je suis en couple. J'ai deux chats. Mon homme n'est qu'en CDD.
Choisir ma domiciliation ? Ah ? On me le paie, le loyer dans le 8ème arrondissement ? Ou alors je vais faire caissière à Intermarché près de chez moi... mais si je fais ça je ne peux même plus me payer l'appart ?
Donc, en gros, je suis immobilisée chez moi, je paie mes courses plus cher, j'ai payé mon Navigo pour rien, mais je suis censée dire "OK" à la grève. Mon employeur me dit que si la grève se poursuit après ma reprise théorique, il me faudra un "justificatif SNCF" . Mais il n'y a pas d'employés dans ma petite gare... 
Désolée, chers cheminots, mais non. Pas cette fois ci. Il y a votre ressenti et ce qu'on voit. Et visiblement, les deux sont bien différents. On est censés vous soutenir, alors que les grosses emmerdes, on les subit à gogo. 
Moi, aujourd'hui, je suis côté voyageurs. C'est tout.

samedi 17 mai 2014

Mon astuce "anti stress" ... même si parfois je panique!

Coucou les amis!

Pour ceux qui me connaissent, je suis un peu, la plupart du temps, une boule d'énergie. J'ai mes moments déprime, c'est vrai, mais au final, globalement je préfère transmettre un sourire qu'une sale gueule.

Et pourtant, il y aura ces moments où une chose à faire ou une nouvelle obtenue vont me déboussoler plus que de raison... dans ces moments, je réfléchis souvent plus que je devrais, et j'essaie de m'isoler pour éviter de montrer un visage triste.

Heureusement, ça ne dure pas si longtemps: je me rappelle ensuite cette phrase que je dis souvent et qui tourne autour du fait qu'en gros, lorsqu'une "mauvaise" situation arrive, le fait de pleurer ou se rendre malade pour ladite situation ne sert à rien.

Ce qu'il faut, c'est reconnaître ce qui se passe, l'intégrer, réfléchir aux solutions quand c'est nécessaire, et continuer à vivre :) . Et là, tout se passe mieux :) !

vendredi 9 mai 2014

Le blues du vendredi soir :P ?



Il est presque 23h, je bosse demain, et me voilà encore à réfléchir devant mon clavier.

Je suis connectée sur Facebook et je regarde la liste des gens connectés avec qui je pourrais discuter. Au final, peu de gens sont "débloqués" : vu le nombre "d'amis" que j'ai sur cette fichue liste, j'aurais du mal si tout le monde l'était. Et je me rends compte qu'au final, ça sert bien peu, car ces temps-ci, je "cause" de moins en moins.

Certains noms me font sourire. Un beau souvenir survient. Parfois, ils me rendent triste. Car j'aimerais parler à cette personne, avoir une vraie conversation, mais je n'ose pas, car je me dis "Mais je l'emmerde, en fait ? J'ai vraiment l'impression." 

J'ai une chance énorme. J'ai rencontré des personnes formidables et, depuis un an, ma vie a vraiment changé du tout au tout. Je passe petit à petit des étapes indispensables, je grandis, je deviens une vraie femme (même si on aura tous notre propre définition du terme...) et, quand je regarde cette liste Facebook avec une pointe de nostalgie, j'ai envie de me taper sur la tête en me disant que non, vraiment, je suis un peu trop sentimentale aujourd'hui et qu'il faudrait vraiment que j'aille me changer les idées.

C'est amusant, quand même. L'autre jour, à cet atelier d'écriture, le thème était la solitude. Je me rends compte que je l'aime parfois, quand j'ai l'impression d'avoir été trop sociale, mais à certains moments, j'aimerais que, tout en étant "seule" chez moi, je ne sois pas vraiment seule, à discuter comme pas possible avec les copains jusqu'à pas d'heure.

Et voilà que je me remets à m'apitoyer. Tsk, tsk. Il ne faut pas. En fait, je n'ai pas du tout à me plaindre. Tous les gens qui m'entourent m'ont tous énormément apporté (V, A, C, M ont changé ma vie!) , même si tous ne m'entourent pas de la même manière.

Ah bin tiens. En voilà une raison de sourire. La vie est belle, au final, même quand on a l'impression que certaines choses vont carrément de travers.

Alors, merci à vous :)